La poussette tueuse
j’ai appelé cette série de dessins pensées sauvages parce que ce sont des idées non maîtrisées, qui viennent comme ça, au hasard du crayon, sans qu’on y réfléchisse et qui ne prennent leur sens qu’une fois le dessin réalisé. C’est l’écriture automatique chère à André Breton et aux surréalistes. Après vient le choix du titre et là c’est une autre histoire, l’auteur se doit-il de justifier ce qui n’est en fin de compte qu’élucubrations et rêveries ?… (Voire l'article "à chacun son histoire" et "À chacunn son histoire suite"
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